CONNEXION
Laboratoire d'archéologie du Québec
< RETOUR À LA RECHERCHE
Fragments de vase. Face externeImage
Photo : Joey Leblanc 2018, Creative Commons 4.0 (by-nc-nd) Pointe-à-Callière, Cité d'archéologie et d'histoire de Montréal
Fragments de vase. Face interneImage
Photo : Joey Leblanc 2018, Creative Commons 4.0 (by-nc-nd) Pointe-à-Callière, Cité d'archéologie et d'histoire de Montréal
Fragments de vase. Détail décor, face externeImage
Photo : Joey Leblanc 2018, Creative Commons 4.0 (by-nc-nd) Pointe-à-Callière, Cité d'archéologie et d'histoire de Montréal
Fragments de vase. Détail de la lèvreImage
Photo : Joey Leblanc 2018, Creative Commons 4.0 (by-nc-nd) Pointe-à-Callière, Cité d'archéologie et d'histoire de Montréal
Fragments de vase. Détail de la pâteImage
Photo : Joey Leblanc 2018, Creative Commons 4.0 (by-nc-nd) Pointe-à-Callière, Cité d'archéologie et d'histoire de Montréal

PROVENANCE ARCHÉOLOGIQUE+

Provenance archéologique

EkFs-7 > Numéro de catalogue 167

Contexte(s) archéologique(s)

Campement

ÉVALUATION D'INVENTAIRE+

Les fragments de vase font partie de la collection archéologique de référence du Québec, car ils constituent un bel exemple de poterie provenant de certains sites de la Jamésie qui présentent la dualité décorative des impressions à la cordelette et des ponctuations.

SYNTHÈSES ET RÉFÉRENCES+

Synthèse historique

Les fragments de vase sont datés du Sylvicole supérieur ancien (1 000 à 650 ans avant aujourd'hui). L'artéfact sert principalement à la cuisson des aliments. Il peut également servir à l'entreposage.

Ces artéfacts provenant de la Jamésie se retrouvent rarement sur ce type de site archéologique, et ces fragments ne font pas exception. Si plus de 1000 tessons sont retrouvés sur ce site, ce sont en grande majorité de très petites grenailles appartenant vraisemblablement toutes au même vase. Les caractéristiques morpho-stylistiques de celui-ci pointent vers une production située au début du Sylvicole supérieur, mais il reste, à certains égards, différent des traditions culturelles de l'époque.

L'artéfact est mis au jour en Jamésie entre 2007 et 2008.

RÉFÉRENCES

INKSETTER, Leila. Analyse de céramique des sites EfFk-1, EiFt-4, EiGo-1.10, EiGo-1.12, EjFt-12, EkFs-7, EkFs-16, EkFt-20. Rapport technique [document inédit], Administration régionale crie, 2010. s.p.